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mardi 25 novembre 2014

el wahrani film interdit en algerie

بواسطة : Unknown بتاريخ : 05:57

le dernier film el wahrani interdit en algerie

بواسطة : Unknown بتاريخ : 05:52
https://www.youtube.com/watch?v=mLVzpklvPqA

dimanche 23 novembre 2014

Clou de girofle : un remède malin contre la grippe !

بواسطة : Unknown بتاريخ : 10:53
Mal de dent, digestion, grippe… Avez-vous déjà essayé le clou de girofle ? Ce bouton floral issu du giroflier est un véritable allié médicinal !

Courbatures, nez qui coule, mal de tête… Vous avez un début de grippe ? N’attendez plus !  Les  clous de girofle sont non seulement antibactériens mais aussi antiviraux, ils vous débarrasseront de ce vilain virus et empêcheront sa propagation.
En pratique : Dans l’équivalent d’une tasse d’eau, verser 2 clous de girofle + 1 morceau d’écorce de cannelle et 1 branche de thym.  Faire bouillir le tout pendant 3 minutes, et laisser infuser une quinzaine de minutes. Boire 3 à 4 tasses par jour, éloignée des repas jusqu’à amélioration.
Contre-indication : Les clous de girofle peuvent provoquer des troubles du sommeil chez les personnes allergiques à l’eugénol.

Les aliments anti-crampes musculaires

بواسطة : Unknown بتاريخ : 10:40
Lentilles, légumes verts et secs, céréales complètes, chocolat noir et la banane.
-Buvez de l'eau riche en magnésium  qui participe à la relaxation des muscles. Vous le retrouvez aussi en bonne quantité dans les lentilles, légumes verts et secs, céréales complètes, chocolat noir et la banane.
-Pensez aussi aux jus de fruits frais qui facilitent l'élimination des toxines dans l'organisme, surtout si vous faites du sport.
-Mangez du miel riche en sels minéraux à raison de 3 c. à soupe/jour sous la forme qui vous convient (tartines...).
-Pensez à tous les produits laitiers, aux fruits secs riches en calcium et potassium (abricots...) et consommez 1 banane/jour*.
-A consommer avec modération: les viandes rouges,et les abats .

Les bienfaits du café au petit-déjeuner

بواسطة : Unknown بتاريخ : 10:31
Vous faites partie de ces personnes qui ne peuvent pas commencer leur journée sans une tasse de café ? Bonne nouvelle, c’est quelque chose de très sain, surtout quand vous savez le combiner avec les bons aliments
!
Le café est la deuxième boisson la plus consommée au monde après l’eau. Nous allons vous 
expliquer tout ce qu’il peut apporter à votre petit-déjeuner 
Que peut vous apporter le café au petit-déjeuner ?
Les personnes qui partent de chez elles le matin avec seulement un café dans le ventre sont nombreuses. Cette habitude est très mauvaise pour votre santé. Vous sortez sans avoir les nutriments nécessaires à votre journée et vous déséquilibrez votre nutrition.
L’idéal est de prendre chaque repas de la journée, et d’ingérer à chaque fois les bonnes quantités de nourriture. Sans jamais négliger l’importance du petit-déjeuner. Nous allons désormais vous expliquer les bienfaits du café lorsqu’il est pris dans les premières heures de la journée.
1. Il nous réveille, il améliore notre concentration et notre mémoire
Il n’y a rien de mieux pour activer notre corps dès le matin. C’est le boosteur idéal dans les premières heures de la journée, capable de nous réveiller en nous apportant la dose de caféine idéale. Le café a également la capacité d’éliminer, chez beaucoup de personnes, les maux de tête.
Le café est un bon stimulant du système nerveux central, il faut donc faire attention à la quantité que vous allez en boire. N’en buvez jamais plus de deux petites tasses par jour.
2. Il nous apporte beaucoup d’antioxydants
Le café est une boisson riche en antioxydants. Il fortifie nos cellules et les protège des radicaux libres. En boire le matin est donc un geste médicinal qui vaut la peine d’être effectué. Le café vert est le plus riche en antioxydants et il nous aide à brûler des graisses.
3. Il protège notre flore intestinale
Une tasse de café agit comme un bon prébiotique capable de prendre soin de notre flore intestinale. Cet effet protecteur régule nos fonctions de manière très saine, nous protégeant face à beaucoup de maladies différentes.
4. Il est digestif
Il est possible que vous ne le sachiez pas, mais le café stimule vos sucs gastriques ce qui améliore la décomposition des aliments, et donc la quantité de nutriments que vous en retirez. Il est donc indiqué d’en boire au moins deux fois par jour, de cette manière vous améliorez le travail de votre estomac, vous prenez soin de vos intestins et de tout votre système digestif.
5. Il protège notre foie
Les études réalisées sur les effets du café sur notre santé hépatique sont nombreuses. Et les résultats sont toujours très clairs. Il prend soin des cellules de notre foie, nous évitant les maladies comme la cirrhose ou le foie gras. Mais n’oubliez pas qu’il ne faut pas en abuser, et en consommer de deux à trois tasses maximum par jour.
6. Associez bien le café aux autres aliments de votre petit-déjeuner
Le petit-déjeuner continental serait, selon certaines idées reçues, le petit-déjeuner le plus sain connu. Vous le savez, il se compose d’un café, d’un jus d’orange et de tartines accompagnées de beurre. Les experts contredisent pourtant ces idées. Combiner le café au jus d’orange aboutit à un petit-déjeuner trop acide. Et si, en plus, le jus d’orange en question est celui vendu en supermarché, vous ne bénéficierez pas d’apports en vitamine C ou en antioxydants. Le jus le plus sain est le naturel, fraîchement pressé.
Quels sont les meilleurs aliments pour accompagner le café ? Un jus de citron mélangé à de l’eau tiède est idéal pour débuter votre journée. Une heure après, vous pouvez petit-déjeuner normalement. Ne consommez pas de tartines avec du beurre, car elles sont trop grasses et sont faites à partir de farines raffinées qui rendent votre repas peu sain.
L’idéal est de combiner le café avec, par exemple, un peu d’avoine, du lait végétal, des noix et un fruit (une poire ou une pomme par exemple). Le fruit doit toujours être frais. Ne mangez pas de confitures, qui contiennent trop de sucre et ne sont donc pas saines. Si vous voulez associer votre café à un sandwich par exemple, optez pour du pain complet d’avoine. Vous pouvez ajouter un peu de blanc de dinde et un morceau d’avocat. Vous allez voir à quel point ce petit-déjeuner est bon, et tous les bienfaits qu’il vous apportera jusqu’au déjeuner.

Real Madrid : cette sublime merengue qui fait de l’ombre à madame Cristiano Ronaldo

بواسطة : Unknown بتاريخ : 10:14
la compagne du défenseur brésilien fait pourtant un carton depuis quelques semaines sur les réseaux sociaux



Si Cristiano Ronaldo a Irina Shayk, Marcelo a Clarice Alves. Moins connue que le mannequin russe, la compagne du défenseur brésilien fait pourtant un carton depuis quelques semaines sur les réseaux sociaux rapporte But Football Club. Récemment dévoilée dans le costume d’actrice, le côté flashy de Clarice Alves est très apprécié sur Twitter. Un cliché d’elle pris par Emilia Brandao a notamment fait lever les foules et fait la fierté de Marcelo.




Quaresma : «Brahimi a les capacités de devenir le meilleur joueur du monde et pas seulement d'Afrique»

بواسطة : Unknown بتاريخ : 09:39




 Le bruit strident du moteur d'une Jaguar déchire le silence ambiant qui règne au centre d'entraînement Gaia. Un bruit qui annonce l'arrivée de Ricardo Quaresma à bord de son bolide. La star du FC Porto et le chouchou des supporters des Bleu et Blanc nous accueille sans protocole en exprimant sa joie d'accorder pour la première fois une interview à un média algérien. Mais avant de répondre à nos questions, le numéro 7 devait d'abord effectuer une séance d'entraînement avec le groupe. Une occasion pour nous de voir de plus près l'ancien joueur du FC Barcelone, de l'Inter et Chelsea et découvrir ses qualités incontestables. Avec Brahimi, Quaresma fait de l'entraînement du FC Porto une attraction pour les supporters. Merci de nous avoir accordé cette interview... C'est à moi de vous remercier de m'avoir choisi comme votre invité. Je suis heureux de m'adresser à un média du monde arabe. Mon expérience à Dubaï, avec qui vous partagez la même langue à mon avis, m'a permis de découvrir la civilisation arabe. J'ai été toujours intéressé d'apprendre des choses sur les mentalités de ces gens. Au début de votre carrière, vous avez joué pendant deux saisons avec le Sporting avant de rallier le FC Barcelone, vous attendiez-vous à un tel transfert ? Quand une équipe comme le Barça prend attache avec vous, cela vous procure de la fierté. C'est un honneur de jouer pour un géant du foot comme le Barça. J'étais jeune, je n'avais que 18 ans. Je suis persuadé que j'aurais fait nettement mieux si j'étais allé en Catalogne à un âge plus mûr. Cela dit, je ne regrette rien de mon parcours, jouer pour un club comme le FC Barcelone demeure un rêve pour n'importe quel joueur. Mais vous n'y avez pas beaucoup joué... Comme je vous l'ai dit, je suis allé très jeune à Barcelone, j'étais impatient d'avoir ma chance, alors qu'on devrait se montrer patient lorsqu'on est jeune. J'ai signé dans un club qui possédait une pléiade de grands joueurs qui ont tout gagné. Des stars, les joueurs les plus importants dans le foot. Lorsqu'on est jeune, on a du mal à accepter l'idée de ne pas jouer, j'étais impatient de montrer mes capacités. Je pense que j'ai été victime de cette impatience, mais je ne regrette pas d'avoir opté pour ce club. A votre retour au Portugal, vous avez opté pour le FC Porto, pourquoi ce choix ? C'est l'équipe qui a montré le plus d'intérêt pour moi. J'aurais pu revenir dans un autre club comme le Sporting avec qui j'ai débuté ma carrière, mais le discours du président du FC Porto a pesé finalement dans mon choix. Il a su me convaincre en me disant qu'il avait confiance en mes capacités. C'est ce dont j'avais besoin à ce moment. Mon admiration pour ce club ne cesse de grandir depuis que je l'ai intégré. Aujourd'hui, je peux dire que je suis même amoureux de ce club. Lors de votre passage à l'Inter, pourquoi Mourinho ne vous faisait pas confiance alors qu'il était derrière votre recrutement ? Avec Mourinho, il y avait beaucoup de choses négatives, que je ne veux pas évoquer actuellement. J'ai gagné quelques titres avec ce club, j'ai gagné en expérience également. C'est dans des situations difficiles qu'on devient plus fort, plus mûr. Les choses ne se sont pas passées comme souhaitées. Il y avait une certaine déception certes, mais je m'en voulais à moi-même plus qu'à mon entourage. J'étais sûr de montrer un meilleur visage que celui que j'ai montré sur le terrain. Franchement, je ne veux pas trop penser au passé, le plus important est que je suis heureux actuellement avec Porto où je cherche toujours à donner le meilleur de moi-même. Comment jugez-vous votre expérience avec Chelsea ? Après tous les problèmes que j'ai vécus à l'Inter, je suis allé à Chelsea. La meilleure solution était de partir et chercher un club qui pouvait me donner la chance de jouer à nouveau. Scolari m'avait proposé de rejoindre son équipe, ce que j'ai fait. J'ai joué le premier match avec Chelsea sous la houlette de Scolari avant qu'il soit remercié. Son successeur est arrivé avec de nouvelles idées et une mentalité différente. Il préférait aligner les joueurs plus expérimentés que moi. Je n'ai pas beaucoup joué, contrairement à ce que je souhaitais. Les choses se sont plutôt bien passées pour vous à Besiktas si l'on excepte les problèmes que vous aviez avec votre entraîneur de l'époque... Il n'y avait aucun problème avec l'entraîneur, ce sont des choses qui arrivent tous les jours dans la vie d'un club. J'ai toujours gardé de bons rapports avec lui, il ne s'est rien passé d'exceptionnel qui mérite d'être évoqué. En parlant de mon expérience en Turquie, je peux vous assurer que Besiktas est le seul club, avec le FC Porto, où je me sentais content. Pour moi, c'est important d'être content de jouer dans un club pour pouvoir montrer ses capacités. J'ai réalisé de belles choses avec Besiktas, que je considère comme ma seconde maison, après Porto. La presse avait parlé néanmoins d'un différend financier avec la direction de Besiktas... Parler d'argent est le sujet de prédilection de la presse, on a besoin d'écrire des choses comme ça pour des raisons commerciales. Il n'y avait aucun problème de salaire, le nouveau conseil d'administration est venu avec de nouvelles intentions, et nous avons trouvé finalement un terrain d'entente. Pour quelles raisons avez-vous choisi de jouer dans le championnat émirati en dépit de votre niveau supérieur ? En allant à Dubaï, mon objectif était d'y rester pendant six mois avant de revenir en Europe. Dans les six derniers mois de contrat avec Besiktas, je n'avais pas joué à cause d'un litige avec la direction du club. Cherchant une solution, j'ai préféré aller à Dubaï pour jouer une demi-saison avant de revenir en Europe. Au final, j'estime que ç'a été une belle expérience pour moi et je remercie tous ceux qui m'ont donné un coup de main là-bas. Je suis revenu en Europe par la suite où j'ai signé pour le FC Porto, un club que j'aime beaucoup. Quels sont vos objectifs avec Porto ? Le plus important est d'être sérieux et donner le meilleur de moi-même pour aider ce club à gagner des titres. Les supporters de Porto méritent tout le bien du monde, et les joueurs qui portent ses couleurs doivent comprendre qu'ils sont appelés à mouiller leurs maillots et ne pas lésiner sur les efforts à chaque match. Ce club est plus grand que nous, nous lui devons le respect. Vous sentez-vous malchanceux du fait de ne pas avoir participé à la dernière Coupe du monde ? C'était un choix de l'entraîneur. A mon retour à Porto, mes détracteurs ont dit que j'étais fini et que je ne pouvais plus jouer comme avant, que je n'étais plus décisif, entre autres. Je leur ai prouvé le contraire, que je suis toujours là, capable de donner un plus au club et à la sélection. J'étais certes déçu de ne pas faire partie du groupe sélectionné pour la Coupe du monde. D'après ce que j'ai vu, les joueurs qui ont été choisis n'étaient pas meilleurs que moi. J'étais en colère car j'étais persuadé de figurer dans la liste des sélectionnés, mais l'entraîneur en a décidé autrement. Je ne suis pas en train de critiquer Paulo Bento, il est le seul à expliquer son choix de m'écarter. Je lui voue toujours un grand respect, je n'aime pas critiquer les entraîneurs et les gens. Je préfère continuer à travailler en ayant la tête haute. J'aimerais bien jouer le Mondial, mais je ne suis plus jeune. Franchement, je ne pense pas pouvoir participer à la prochaine Coupe du monde. C'est ce qui manque dans mon parcours, mais la vie continue, comme on dit. Qu'est-ce qui a fait que votre équipe n'a pas brillé en Coupe du monde en dépit des stars qu'elle possède ? Je ne pense pas qu'il y ait des problèmes en sélection, sauf que les choses ne se déroulent pas comme on le souhaite. Nous avons une bonne équipe, de bons joueurs pleins de talents. Nous sommes dans la bonne voie, on propose un bon jeu collectif. Je sens qu'on est capables de réaliser de bonnes choses grâce à des joueurs exceptionnels qui composent l'équipe. Comment considérez-vous votre relation avec Ronaldo ? Je connais Christiano Ronaldo depuis un bon moment. On a mûri ensemble au Sporting, il a beaucoup progressé et ne cesse de progresser au fil des saisons. En tant qu'ami proche de lui, je suis content de le voir toujours au sommet. Il est le meilleur dans le monde actuellement, j'espère qu'il le sera toujours. Avec tous les autres Portugais, je suis content d'avoir un joueur exceptionnel comme lui qui nous représente de la meilleure manière à l'étranger. Qui est le meilleur entre Ronaldo et Messi ? Il est bien évidemment meilleur que tout autre joueur. Certes, Messi est un joueur exceptionnel, il a plein de talent, et personne ne possède ses qualités, mais Ronaldo reste incontestablement le meilleur joueur et numéro un. Que pensez-vous du phénomène du racisme sur les terrains ? J'ai déjà eu l'occasion d'en parler. Il n'y a pas de personne supérieure à une autre. La couleur de la peau n'est pas importante. Que tu sois blanc, rouge ou bleu, cela n'a aucune importance, tout le monde est pareil. On n'a pas le droit de faire ou de dire du mal d'une autre personne. Je pense que ce phénomène est en net recul, les gens se respectent plus, ils ont compris qu'on est tous pareils et que personne ne mérite de subir un mauvais comportement. Quel conseil donneriez-vous à un joueur comme Balotelli ? Les joueurs ne peuvent pas contrôler leurs nerfs à chaque fois. A chacun son tempérament, et Balotelli a son caractère à lui. C'est un bon joueur avec des idées spéciales. On était coéquipiers à l'Inter et je me suis régalé en jouant à ses côtés. Moi, je n'ai eu aucun problème avec lui. Les gens doivent le laisser tranquille, chacun vit sa vie comme il l'entend. Que connaissez-vous de l'équipe d'Algérie ? Je ne connais pas grand-chose. Je connais Ghilas, Brahimi et Slimani, les autres je ne les connais pas puisque je ne regarde pas leurs matches. Je ne peux rien dire d'eux dans ce cas. Je me contenterai de parler de ceux avec qui j'ai joué ou que j'ai affronté. Avez-vous suivi les matches de l'Algérie en Coupe du monde ? J'ai vu quelques matches, bien évidemment, et j'ai bien aimé le jeu de l'équipe d'Algérie. J'ai vu des joueurs courageux sur le terrain, ils forment un groupe homogène et solidaire. Brahimi, Slimani et Ghilas sont des joueurs capables de faire la différence à tout moment. Ils ont laissé une bonne impression. Que pouvez-vous dire sur votre coéquipier Brahimi ? Brahimi est un excellent joueur. En dehors du terrain, c'est quelqu'un d'extraordinaire. Il progresse vite et apprend beaucoup de choses tous les jours. Il sera de plus en plus sous les feux de la rampe, il a les qualités pour être au sommet. Il a été sacré meilleur joueur africain de la Liga espagnole, un commentaire ? C'est un joueur talentueux et doué, ce qui fait de lui le meilleur joueur africain. Il a les qualités pour devenir le meilleur joueur en Europe et dans le monde. Tout dépendra de sa marge de progression et des objectifs qu'il s'est fixés. Je suis naturellement content d'avoir un joueur comme Brahimi dans notre effectif à Porto. Ce sont des joueurs de son envergure, capables de changer le cours d'un match à eux seuls, qui permettent à leurs clubs de réaliser les résultats escomptés. Vous sentez-vous à l'aise en jouant à ses côtés ? C'est vraiment une chose extraordinaire de jouer aux côtés d'un joueur comme Brahimi. Je suis prêt à l'aider et mettre mon expérience à sa disposition pour qu'il progresse encore davantage. C'est bien de jouer avec quelqu'un d'aussi talentueux que Brahimi. Ensemble, on pourra donner beaucoup à notre équipe. Quelles sont ses principales qualités ? Brahimi est un joueur très rapide et excellent techniquement. Il a tout le temps devant lui pour apprendre plus. Il fait partie des joueurs qui cherchent toujours à apprendre plus et prêts à redoubler d'efforts pour progresser. C'est vraiment un joueur exceptionnel. Pensez-vous que Ghilas méritait de rester à Porto ? En ma qualité d'ex-camarade, je dirais qu'il a les qualités qui lui permettent de jouer à Porto. Malheureusement, il est parti. Je ne suis pas bien placé toutefois pour parler de ce qui s'est passé. Seuls le joueur et la direction du club savent pourquoi Ghilas nous a quittés. Que pouvez-vous dire de Slimani ? C'est un bon attaquant, il travaille beaucoup à l'entraînement et se donne à fond sur le terrain. Il a beaucoup aidé le Sporting et j'espère qu'il le fera aussi longtemps que possible sauf lorsqu'on les affronte (il rit). Porto reste l'équipe la plus importante pour moi. Que pensez-vous de la loi des Bahamas qui permet aux joueurs binationaux de jouer pour les sélections de leurs pays d'origine, comme c'est le cas de Brahimi et les autres ? Pour moi c'est simple, chaque joueur doit faire son choix en toute liberté. Je ne sais pas comment vous expliquer cela, je ne me suis pas trouvé dans une situation pareille, je suis portugais, je ne possède pas d'autre nationalité. Mais chaque joueur doit être clair dans ses choix. Connaissez-vous d'autres joueurs algériens ? Non, je ne connais que ceux qui évoluent dans le championnat portugais. Pensez-vous que l'équipe d'Algérie est capable de gagner la prochaine coupe d'Afrique ? Bien que je ne connaisse pas beaucoup de joueurs algériens, je leur souhaite bonne chance en coupe d'Afrique, notamment pour Brahimi et mon ex- camarade Ghilas, qui est aussi un ami. L'équipe qui possède Brahimi est capable de s'adjuger le titre de champion d'Afrique. Que représente Madjer pour vous et pour les supporters de Porto ? Madjer fait partie de l'histoire de Porto et il le restera pour toujours. Malheureusement, je ne l'ai pas vu jouer. Mais d'après ce que j'ai entendu dire, c'est un joueur extraordinaire, exceptionnel. Le fameux but qu'il a marqué, et tout ce qu'il a donné au club et que nous avons visionné sur internet prouvent qu'il était un joueur extraordinaire. C'est un joueur qu'on n'oubliera pas. Madjer est consultant sur la chaîne El Heddaf TV, quel message voudriez-vous lui envoyer ? J'aurais aimé avoir la chance de le voir jouer, et surtout jouer avec lui. D'après ce que j'ai vu sur internet, c'est un joueur légendaire. N'importe quel joueur souhaiterait jouer avec lui dans la même équipe. J'espère entrer dans l'histoire du club comme lui. Je profite de l'occasion pour le saluer chaleureusement et lui dire que je me régale lorsque je regarde les séquences lorsqu'il était joueur. Croyez-vous que le fait de se concentrer excessivement sur le duel entre Ronaldo et Messi influe sur le Clasico en tant que grand match, sachant que les deux joueurs devront s'en aller un jour ? Lorsqu'il y a des joueurs de ce niveau, il est normal que toutes les lumières soient braquées sur eux. Ils contribuent à donner plus de popularité à ce genre de match, et c'est grâce à eux en partie que les supporters se déplacent en nombre au stade. Je crois que c'est une chose positive pour le Clasico. Je ne connais pas personnellement Messi, mais je connais bien Ronaldo. Je suis sûr qu'il sait bénéficier de la pression et la convertir en envie de bien jouer et de marquer. La vie sans la pression ne signifie rien, à mon avis. Ronaldo et Messi sont les meilleurs actuellement, et c'est logique qu'on parle d'eux plus que les autres. Qui mérite de gagner le Ballon d'Or ? Actuellement, Christiano Ronaldo est incontestablement le meilleur joueur et personne ne pourra rivaliser avec lui. Si la logique sera respectée et qu'il n'y aura pas de partialité dans le choix du meilleur joueur, Ronaldo gagnera encore le Ballon d'Or. Si le jury sera juste, c'est Ronaldo qui sera choisi, sans aucun doute. Quelle est la meilleure équipe actuellement ? (Il rit.) Porto. Songez-vous à terminer votre carrière à Porto ? Oui, je veux terminer ma carrière ici à Porto, et c'est la raison pour laquelle je suis revenu en ce moment précis dans ce club. J'espère gagner beaucoup de titres avant de mettre un terme à ma carrière. Quelle équipe préférez-vous, le Real ou le FC Barcelone ? Je dirais le Real, pour la simple raison qu'il y a des joueurs portugais dans son effectif et qui sont des amis, comme Ronaldo, Pepe et Coentrao. J'aime les voir gagner des titres. Pelé ou Maradona ? Je n'ai pas vu Pelé jouer, contrairement à Maradona. Ils ont joué dans deux époques différentes, mais le meilleur pour moi c'est Eusebio. Zidane ou Ronaldinho ? Il s'agit de joueurs extraordinaires. J'ai joué avec Ronaldinho à Barcelone. Le choix est difficile, je dirais Ronaldinho puisqu'il était mon coéquipier. Buffon ou Casillas ? Buffon. On est arrivé à la fin de l'interview, merci beaucoup. Merci à vous, et à la prochaine occasion.

mercredi 19 novembre 2014

تصريحات زفان عقب نهاية المباراة l declaration du joueur zafan apres le match

بواسطة : Unknown بتاريخ : 13:39

lundi 17 novembre 2014

Gourcuff s’est envolé hier en France en urgence

بواسطة : Unknown بتاريخ : 05:22


Les deux séances d’hier et d’aujourd’hui ont été dirigées par Mansouri et Neghiz


Auteur : Hamza R. dimanche 16 novembre 2014 20:32
Après le match face à l’Ethiopie qui s’est déroulé au stade Mustapha-Tchaker de Blida, dans la soirée de samedi, le sélectionneur national a reçu une mauvaise nouvelle. Sa mère, qui se trouvait en France, était gravement malade. Sur le coup et après concertation avec le président de la FAF, Mohamed Raouraoua, Christian Gourcuff est rentré en urgence en France. Il a pris le vol de 7h à destination de Paris pour rejoindre son domicile familial et rester au chevet de sa mère. Les responsables de la FAF n’ont pas voulu s’opposer à son départ, sachant que l’EN est déjà qualifiée et le match contre le Mali ne sera qu’une simple formalité.
Il est attendu à Alger aujourd’hui, mais…
Selon une source autorisée auprès de la FAF, le coach national devrait regagner Alger aujourd’hui, en principe en début d’après-midi, soit avant le départ de l’EN vers Bamako, où le voyage se fera à bord d’un vol spécial de la compagnie nationale, Air Algérie. Ainsi, il devrait embarquer avec l’EN en descendant de l’avion qui le ramènera de Paris. Seulement, reste à savoir tout de même s’il effectuera le déplacement à Bamako. Si le cas de sa mère s’aggrave, il se pourrait qu’il rate le voyage.
Les deux séances d’hier et d’aujourd’hui ont été dirigées par Mansouri et Neghiz
La séance de travail d’hier matin a été dirigée par les deux assistants de Gourcuff, Yazid Mansouri et Nabil Neghiz. Les deux entraîneurs, qui font partie du staff technique de l’EN, ont suivi la séance de décrassage. Idem pour celle de ce matin. C’est le duo Neghiz-Mansouri qui s’en chargera de la séance, tout en mettant en place le dispositif tactique en prévision du match face aux Aigles du Mali, prévu après demain à Bamako.
 

samedi 15 novembre 2014

video conference de presse entraineur equipe d'algerie match algerie -ethiopie

بواسطة : Unknown بتاريخ : 15:52
https://www.youtube.com/watch?v=Tgldwa1unUo
بواسطة : Unknown بتاريخ : 12:42
1er mi-temps algerie 3 ethiopie1
بواسطة : Unknown بتاريخ : 04:17
https://www.youtube.com/watch?v=Weq4qDDQkrs

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mardi 11 novembre 2014

un musulman et une non musulmane

بواسطة : Unknown بتاريخ : 11:44

lundi 10 novembre 2014

بواسطة : Unknown بتاريخ : 08:01

Gourcuff s’est réuni avec ses assistants hier

 
 
 
Christian Gourcuff s’est réuni, hier, avec ses assistants au Centre technique national de Sidi Moussa. Cette traditionnelle réunion consiste à élaborer le programme de ce stage qui sera scindé en deux. La première partie précède le match contre l’Ethiopie, prévu le 15 novembre à Blida, alors que la seconde, qui sera plus courte, sera consacrée au match face au Mali du 19 novembre à Bamako. Le stage de l’EN commencera aujourd’hui dans ce centre.
A priori, 5 séances à Sidi Moussa
Selon une source bien informée, Christian Gourcuff a décidé de programmer cinq séances de travail à Sidi Moussa. La première se déroulera aujourd’hui. La deuxième pour mardi. Mercredi, les protégés de Gourcuff s’entraîneront deux fois par jour et, enfin, une autre est prévue pour jeudi.
Le sélectionneur souhaite deux entraînements à Tchaker
Le sélectionneur aimerait, par contre, bénéficier de deux créneaux d’entraînement sur la pelouse principale du stade Mustapha-Tchaker de Blida, qui va abriter ce match face à l’Ethiopie. La décision reviendra aux responsables de cette enceinte, compte tenu des conditions météorologiques, sachant surtout que l’Ethiopie aura droit à un créneau de travail vendredi, la veille du match.
Un décrassage et une séance tactique avant de partir à Bamako  
Même le programme d’après l’Ethiopie a été arrêté par Christian Gourcuff. En effet, le lendemain du match, dimanche, les joueurs effectueront un léger décrassage au CTN, le matin, et l’après-midi, ils auront droit à un repos et des soins pour les blesser, au cas où. Le lundi matin, les Verts s’entraîneront à 9h30 dans ce centre, avant de s’envoler, dans l’après-midi, à destination de la capitale malienne, Bamako, 48h avant le coup d’envoi du match.

بواسطة : Unknown بتاريخ : 07:55

La star à Porto, c’est Brahimi !

Madjer, le joueur le plus représenté au musée du FC Porto
Il aura fallu trois mois seulement à Yacine Brahimi pour conquérir les cœurs des inconditionnels du FC Porto. En effet, auteur d’un début de saison tonitruant, l’ancien Rennais est devenu la star numéro Une du club et tout le monde n’a d’yeux que pour lui depuis quelques semaines. Durant notre virée à Porto, on a pu mesurer la popularité du petit lutin algérien qui s’est fait un nom auprès des fans qui le considèrent déjà comme le meilleur de l’équipe. Doté d’une technique supérieure à la moyenne, Yacine ne cesse d’épater. Personne ne l’attendait à un tel niveau . Tous ceux qu’on a interrogés à Porto ont été unanimes à dire qu’ils ne s’attendaient pas du tout à voir un tel niveau de Yacine Brahimi. «On savait que c’était un bon joueur, plein d’avenir, mais sincèrement, c’est un monstre du dribble qu’on a ramené et j’en suis fier» dira Miguel, un fan du club. Il faut dire que Brahimi a gagné des galons depuis son arrivée au club et son efficacité fait qu’il est devenu plus mature que les saisons précédentes.
Adrian en méforme, Tello se blesse, Yacine en tire profit
Dans un premier temps, en recrutant Brahimi, le FC Porto n’avait pas misé sur lui en tant que titulaire indiscutable. L’attraction, côté mercato estival du club, était plus le Barcelonais Christian Tello. Ce dernier, révélation du club catalan, il y a deux ans, était très attendu du côté de Porto, mais jusque-là, il n’a pas donné entière satisfaction. Brahimi a surtout tiré profit en tout début de saison de sa blessure pour prendre une place de titulaire et ne plus la céder, grâce notamment à ses belles performances.
L’autre recrue phare avait pour nom Adrian. Arrivé de l’Atlético Madrid pour la coquette somme de 11 millions d’euros, il n’a pas su s’imposer lui aussi et sa méforme a été profitable à l’Algérien.
Alex (fan de Porto) : «On espère que le club ne le vendra pas à la fin de la saison»
Alex, un autre fan du club qu’on a rencontré dans les alentours du stade, nous dira à propos de Brahimi : «C’est un très bon joueur. Pour moi, il demeure la révélation de ce début de saison. Je sais que les grands clubs le suivent, mais ce que je souhaite, c’est que la direction de Porto le garde au moins deux ans. On en a marre de voir nos perles partir comme ça à chaque fin de saison.»
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Les médiasportugais surpris que Le Buteur ait pu interviewer Brahimi
Yacine Brahimi est actuellement sous les feux de la rampe. Tout le monde parle de lui et des prouesses qu’il est en train de réaliser à chacune de ses sorties avec le FC Porto en ce début de saison. Evidemment, cela fait de lui un joueur très convoité par les médias, non seulement du Portugal, mais aussi d’un peu partout en Europe. La chance qu’on a eue d’interviewer le joueur, la semaine dernière, a surpris plus d’un à Porto. Les différents représentants des médias locaux avec lesquels on a pu discuter nous ont tous exprimé leur étonnement d’avoir pu décrocher un rendez-vous avec Brahimi pour une interview, notamment durant cette période très chargée de la saison. «Vous avez de la chance, car nous ici, ça fait des semaines qu’on souhaite interviewer Brahimi, mais sans succès», nous dira le journaliste de Record, Andre Monteiro.
Une communication stricte et verrouillée au FC Porto
Ce qu’il faut savoir, c’est qu’au FC Porto, la communication des joueurs est strictement contrôlée par le service médias du club. Les coéquipiers de Jackson Martinez ne peuvent parler à la presse, qu’après l’aval des responsables du club. Les déclarations en zone mixte sont quasiment inexistantes aussi, puisque voilà maintenant près de deux ans que les joueurs du FC Porto ne sont pas autorisés à s’exprimer dans cette zone à l’issue des matchs de championnat et des deux Coupes nationales. La seule compétition durant laquelle les joueurs peuvent rencontrer les journalistes, c’est uniquement celle de la Ligue des champions.  
Paulo Pinto (journaliste du quotidien A Bola) : «Même en zone mixte, on n’a pas la chance de rencontrer les joueurs»
Le journaliste du quotidien A Bola, en l’occurrence Paulo Pinto, chargé de couvrir l’actualité du FC Porto et qu’on a eu l’occasion de croiser dimanche dernier au centre d’entraînement du club, nous a dit : «Sincèrement, vous êtes très chanceux d’avoir pu interviewer Brahimi. Actuellement, il est très sollicité et le fait de l’avoir est déjà un exploit. Je peux vous dire que même en zone mixte, on n’a pas la chance de rencontrer les joueurs. La communication est verrouillée et c’est uniquement lors des matchs de Ligue des champions qu’on peut avoir quelques déclarations, en raison des règlements en vigueur de l’UEFA. Avoir Brahimi, ce serait bien évidemment un bon coup pour nous, mais on sait que c’est quasiment impossible. On essaye de temps à autre d’intercepter les joueurs à l’aéroport, mais là aussi, ce n’est pas facile», a-t-il dit.
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Madjer, le joueur le plus représenté au musée du FC Porto
Profitant de notre présence à Porto pour interviewer Brahimi, nous avons fait un tour du côté du musée du club. Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’empreinte de Madjer est bien présente. En effet, reconnaissant envers ses anciennes gloires, la direction du club portugais n’a pas manqué de mettre en évidence le passage de l’ancien sociétaire du NAHD au club, notamment avec une grande statue à son effigie, mettant en mémoire son fameux but inscrit lors de la finale de la Coupe des clubs des champions européenne en 1987 face au Bayern Munich, d’une magnifique talonnade. D’après ce qu’on nous a dit, Rabah Madjer demeure le joueur, passé par le club, le plus représenté dans ce musée, en compagnie de Deco et du gardien Victor Baia.
Sa voiture remportée en 1987 se trouve dans la boutique du club
Ceux qui auront la chance de faire un tour du côté de la boutique officielle du club qui se trouve près du stade do Dragao verront, à leur entrée une voiture de marque Toyota, suspendue à l’intérieur, qui surplombe tout le magasin. Renseignement pris, cette voiture appartenait à Rabah Madjer qui l’avait remportée à l’occasion de la finale de la Coupe Intercontinentale (elle opposait le vainqueur de la Coupe des coupes des champions à celui de la Coupe Libertadores) disputée et remportée en décembre 1987 par le FC Porto devant le club uruguayen du CA Peñarol. Madjer, auteur du but victorieux (2-1) dans les prolongations, avait été élu meilleur joueur du match et avait reçu les clefs de cette voiture Toyota Carina II, puisque cette finale, qui s’est jouée à Tokyo, était sponsorisée par la firme japonaise.
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Pedro Marques Costa (journaliste d’O Jogo) : «Brahimi a conquis tout le monde»
Pedro Marques Costa, journaliste au quotidien O Jogo, estime que Brahimi a étonné tout le monde par ses excellentes performances en ce début de saison d’autant que personne ou presque ne l’attendait à un tel niveau : «Sincèrement, Brahimi ne cesse de nous surprendre match après match. C’est un joueur qui a réussi à devenir un titulaire indiscutable en très peu de temps. Personne ne le voyait à un tel niveau. Il a réussi, en seulement trois mois, à conquérir le coeur des supporters. Il est, désormais, la grande star du club et tous les fans l’adulent. Je pense que s’il continue à ce rythme, il finira par jouer dans un très grand club.»
«Jamais une recrue ne s’est aussi rapidement imposée au club comme lui»  
Et d’ajouter : «Vous savez ici à Porto, les supporters sont très exigeants. Les nouvelles recrues éprouvent souvent un peu de mal lors des premiers mois. Personnellement, je suis surpris de voir Brahimi jouer comme ça. Je pensais qu’il allait avoir besoin de quelques mois, pour atteindre ce niveau. Le parfait exemple, c’est Christian Tello. Celui-ci arrive pourtant du FC Barcelone, mais jusque-là, il n’a pas encore donné entière satisfaction. Il tarde à s’adapter au club. Brahimi a brûlé déjà toutes les étapes et à mon avis, il va être encore plus fort à l’avenir. C’est tout le mal que je lui souhaite.»





dimanche 9 novembre 2014

بواسطة : Unknown بتاريخ : 09:03

Brahimi : «Avec Halilhodzic, j’ai eu beaucoup de déceptions, certaines de ses décisionsm’ont fait mal»

«Est-ce que le PSG m’a contacté ? Je ne réponds ni par oui ni par non»
Auteur : Saïd Fellak samedi 08 novembre 2014 00:43
 La star du moment, ne la cherchez pas trop, c’est à Porto qu’elle se trouve et elle a pour nom Yacine Brahimi. Arrivé cet été dans la cité ancestrale portugaise en provenance de Granada, le petit lutin algérien n’en finit pas d’éblouir et de charmer toute l’Europe par ses prouesses techniques hors du commun. Véritable homme fort du club du Dragon en ce début de saison, Brahimi n’a laissé personne indifférent. Tout le monde parle de lui et, évidemment, les puissants grands clubs européens sont eux aussi très attentifs. Malgré les nombreuses sollicitations d’interviews dont il fait l’objet actuellement et son emploi du temps extrêmement chargé, Yacine, toujours aussi disponible, a choisi d’accueillir Le Buteur au centre d’entraînement du FC Porto, dimanche dernier, et de se confier exclusivement à nos lecteurs, mais aussi aux téléspectateurs de la chaîne El Heddaf TV. Très prudent dans ses réponses, notamment en ce qui concerne ses prétendus contacts avec le PSG, l’ancien Rennais a tout de même répondu à toutes nos questions et nous a fait le plaisir de revenir avec nous sur son exceptionnel début de saison, sans omettre d’évoquer la sélection nationale, bien entendu, et sa relation avec l’ex-sélectionneur, Vahid Halilhodzic.

Déjà merci de nous accueillir ici au centre d’entraînement du FC Porto et de nous accorder cette interview…
Il n’y a pas de quoi. Ça me fait plaisir de vous recevoir.
 Voilà donc maintenant trois mois que vous êtes au FC Porto. Quel bilan tirez-vous déjà de cette période dans ce grand club portugais ?
Ça va faire bientôt trois mois que je suis au FC Porto, c’est vrai et je dois dire que j’ai eu de la chance d’avoir été très bien accueilli ici par mes coéquipiers, l’ensemble du staff technique et par tout le club. El Hamdoulilah, je me sens vraiment bien ici et je pense que ça se voit sur le terrain où je prends beaucoup de plaisir à jouer. J’estime que tout le travail que j’ai effectué durant les années passées commencent à payer, même si aujourd’hui aussi je travaille énormément pour progresser encore, car j’ai encore des choses à apprendre. Aujourd’hui, je peux le dire, je suis très heureux de faire partie de ce grand club et j’espère que ça continuera comme ça le plus longtemps possible.
 Le superbe but que vous avez réussi à planter hier (samedi 1er novembre) face au Nacional Madeira résume parfaitement votre excellent début de saison, non ?
Oui, c’est vrai que j’ai eu la chance de marquer un beau but, même si, comme je le dis souvent, le principal, c’est le collectif et la victoire qu’on a réussi à empocher au bout, car les trois points sont les plus importants. Après, c’est clair que sur le plan personnel, ça donne toujours du plaisir et de la confiance quand on arrive à inscrire des buts.
 Sincèrement, vous vous attendiez à ce remarquable début de saison ?
C’était mon objectif, même si je pense que je peux faire encore mieux et que je ne suis pas encore à 100 %. Je ne suis pas encore à mon meilleur niveau. Je progresse et j’apprends aussi car ça ne fait que trois mois que je suis avec mes nouveaux coéquipiers et il faut encore du temps pour avoir davantage d’automatismes. Je travaille aussi énormément aux entraînements et je dois dire que j’ai la chance d’enchaîner les matchs, ce qui me permet de garder le rythme et d’être bien physiquement.
 Un match tous les trois ou quatre jours presque…
Oui, exactement et c’est la première fois que je joue la Ligue des champions et donc j’apprends à chaque match et j’essaye toujours de donner le meilleur de moi-même. Je veux vraiment acquérir un maximum d’expérience pour progresser encore plus.
La transition est toute faite avec la Ligue des champions. On aimerait revenir justement avec vous à cette soirée mémorable du 16 septembre dernier où vous parvenez à marquer les esprits avec un triplé historique en Ligue des champions face au Bate Borisov. Si je vous demande de me décrire vos émotions ce soir-là, l’ambiance qui régnait chez vous…
Déjà, j’avais la chance d’être ce soir-là avec toute ma famille, et c’est pour moi très important, car la famille, ça me tient à cœur. J’essaye de partager le maximum de temps avec elle. Ce jour du 16 septembre, c’était particulier pour moi. C’était mon premier match de Ligue des champions et mettre un triplé de cette manière, c’était tout simplement exceptionnel. Ça a apporté beaucoup de joie à ma famille et à moi aussi…
A toute l’Algérie aussi…
Oui, voilà. Quand je joue, je représente aussi un pays, un continent, et à chaque fois que je suis sur un terrain, je pense à ça. Je veux toujours donner la meilleure image de mon pays et je travaille encore plus dur pour faire progresser mon pays et l’Afrique aussi. Tout ça est dans ma tête et me donne encore plus de motivation et de détermination.
 Contrairement à la saison passée, on voit qu’avec Porto, vous réussissez à marquer beaucoup de buts. Qu’est-ce qui a changé ?
Peut-être la détermination à bien finir mes actions. Je pense que la saison passée, je manquais un peu de lucidité, que j’ai fini par retrouver cette saison. Aussi, je dois souligner que je travaille beaucoup devant les buts et j’essaye d’être plus efficace. Je suis vraiment déterminé à tout donner pour mon équipe.
 Hier, en conférence de presse (samedi dernier), après le match du Nacional, on a demandé l’avis de votre entraîneur Lopetegui sur votre début de saison. Bien entendu, il a répondu qu’il était entièrement satisfait de vos performances, mais a toutefois souligné qu’il y a encore des aspects de votre jeu que vous devez améliorer pour devenir un joueur plus complet. Etes-vous d’accord avec ses propos ?
Bien sûr que je suis d’accord avec lui. Comme je le dis toujours, on peut toujours progresser et faire mieux, et moi, c’est ce que j’essaye de faire au quotidien. Comme je vous l’ai dit aussi tout à l’heure, je sais que je peux faire mieux.
 Pourquoi avoir choisi Porto et pas un autre club ?
Tout simplement parce que c’est le club avec qui le feeling est mieux passé. Je voulais aller dans un grand club qui me permettait de franchir des paliers, de progresser et pour moi, je pense que Porto, c’est le club idéal. Après, il faut dire que je n’ai pas eu 36 000 clubs aussi. On avait tendance à lire dans les journaux, pas mal de clubs me voulaient, mais au final, quand il s’agit du concret, ce n’est pas totalement vrai.
 Avec un peu plus de recul, on aimerait savoir quels sont les clubs qui vous ont réellement contacté ?
Il y a eu différents clubs.
 Pouvez-vous nous citer des noms ?
Non, je ne pourrais pas. Vous savez, un mercato, c’est devenu très compliqué. Maintenant, j’estime que mon choix pour le FC Porto, c’était la meilleure décision, et je ne le regrette pas. J’en suis même très fier.
 Trois mois à peine après votre arrivée à Porto et voilà déjà qu’on parle d’un possible prochain transfert. Qu’en est-il au juste et est-ce que ces bruits vous effleurent l’esprit ou pas du tout ?
Sincèrement, non. Aujourd’hui, je me sens très bien à Porto et mon but, c’est de faire une grande saison. On n’a joué jusque-là que trois mois et la saison est encore très longue. Il me reste beaucoup à prouver… Mon objectif à l’heure actuelle, ce n’est pas de penser à mon avenir, mais surtout songer à gagner des titres et marquer mon passage à Porto. Je veux gagner le maximum de matchs possible et aller le plus loin en Ligue des champions. C’est ça mes objectifs et rien d’autre. Je suis à 100 % avec Porto et je ne suis focalisé que sur ce club. Après, ce qui viendra, viendra.
 Yacine, tout le monde sait que le PSG est chaud pour vous recruter. Dites-nous clairement s’il y a eu des contacts avec le club parisien ?
Je ne peux pas répondre ni par oui ni par non à cette question. Comme je l’ai dit, moi, je suis à Porto et tout le reste qui est en dehors de Porto, du terrain, je ne lui prête pas attention. Je me concentre sur mon travail au quotidien et, pour le reste, c’est les personnes qui s’occupent de moi (ses conseillers, Ndlr) qui gèrent ça. Aujourd’hui, je ne pense ni au PSG ni à aucun autre club.
 Nasser Al-Khelaïfi, le président du PSG, a toujours souhaité recruter un joueur arabe à Paris. Dites la vérité, a-t-il pris attache avec vous ?
(Il rigole…) ça ne sert à rien de me poser ce genre de questions, car de une, je ne répondrai pas, et de deux, je ne pense pas du tout à ça. Je vous le redis, je suis un joueur de Porto. Je viens d’arriver et je ne pense pas à partir déjà. Bien sûr, tout joueur ambitieux rêve de jouer un jour dans un grand club, ça c’est évident, mais on attendra le bon moment pour ça.
 Vous, vous êtes concentré sur le terrain, mais d’après la presse française, on dit que vos conseillers étaient récemment à Paris et auraient rencontré les dirigeants parisiens. Confirmez-vous cela ?
D’après la presse française… mais moi, je ne suis pas la presse française, donc, je ne sais rien du tout (il esquisse un large sourire).
 Il n’y a pas que le PSG, on parle aussi de Naples, Tottenham…
Je ne sais pas du tout.
 Beaucoup disent que Yacine finira par intégrer un club du Top 8 européen. Quel est justement ce club qui vous fait rêver… Barça, Real Madrid, Manchester United… ?
Sincèrement, je n’ai jamais été attiré par un club plus qu’un autre. Après, on connaît tous ces clubs qui forment le Top 8 européen, que ce soit en Espagne, en Angleterre, en Allemagne ou même le PSG en France. Je pense qu’en ce moment, il y a six ou sept clubs qui dominent au niveau européen, et comme je l’ai dit, chaque joueur travaille pour aller au plus haut niveau. Tout le monde aimerait jouer dans les meilleurs clubs au monde, et moi mon rêve est bien entendu d’intégrer un jour un club de ce Top 8 européen.
 Quelle est la différence entre la Liga espagnole et le championnat portugais ?
Il y a quelques différences. La Liga est l’un des meilleurs championnats au monde, c’est clair, mais le championnat portugais, c’est aussi un très bon championnat, qui ne cesse de progresser. On y retrouve aussi de très bons joueurs pleins d’avenir. Je suis vraiment content d’évoluer dans ce championnat.
Passons à présent si vous le voulez bien au volet équipe nationale. L’Algérie a validé sa qualification pour la CAN après avoir réalisé un sans-faute lors des éliminatoires. Dans quel état d’esprit va-t-elle aborder les deux derniers matchs restants, prévus face à l’Éthiopie et au Mali ?
Déjà, c’est une grande satisfaction d’avoir gagné les quatre matchs et d’avoir concrétisé notre objectif, qui était de se qualifier le plus rapidement possible à cette CAN-2015. Il reste maintenant deux matchs à disputer et, à mon avis, ils sont très importants aussi, car on veut terminer cette phase de qualifications avec un maximum de victoires possible. Que ce soit face à l’Éthiopie ou au Mali, on jouera pour gagner, comme on l’a toujours fait jusque-là.
 Le sélectionneur a fait appel à quelques nouveaux joueurs dans le groupe pour ce prochain stage (Abeïd, Bounedjah…). Pensez-vous que ce soit le moment idéal de les tester, sachant qu’il n’y a pas d’enjeu dans ces deux matchs ?
Il n’y a pas d’enjeu du point de vue comptable, oui, mais ça reste deux matchs très importants. Ce sont des matchs officiels, et pour notre confiance il faut absolument essayer de les gagner. Ils vont nous permettre aussi de perfectionner notre cohésion dans le jeu. Ça ne fait pas longtemps qu’on est avec le nouveau coach et je pense qu’il nous faut un maximum de rencontres pour progresser davantage et gagner de la maturité dans notre jeu. Et pour répondre à votre question, j’estime que c’est bien qu’il y ait de nouveaux joueurs. Ça prouve qu’on a de plus en plus de bons éléments et qu’ils progressent. Après, c’est les meilleurs qui joueront et ça sera au coach de décider.
 En parlant de Gourcuff, qu’est-ce qu’il a apporté de nouveau à la sélection, selon-vous ?
Dans la manière de jouer. Je pense que c’est complètement différent de l’ancien coach. Gourcuff a une stratégie bien précise, en 4-4-2,  bien faire tourner le ballon et le maîtriser, être solides aussi défensivement. J’estime qu’avec le nouveau coach, notre équipe est encore plus portée vers l’avant. C’est ce qui a changé, à mon avis. En plus, quand on a la balle, on est plus calmes, on gère mieux nos matchs.
 Et quels sont vos rapports avec Gourcuff, sachant qu’il vous apprécie et veut vous donner une plus grande importance dans le jeu de l’EN ?
Ça se passe parfaitement bien, que ce soit avec le coach Gourcuff ou même avec Yazid Mansouri. On s’entend bien, sur ou en dehors du terrain. Après, je pense qu’on a une relation d’entraîneur-joueur comme les autres. Sur le terrain je me donne à fond pour répondre à ses exigences et aider l’EN à toujours gagner ses matchs.
 On sait qu’avec Vahid Halilhodzic vous n’étiez pas un titulaire indiscutable, puisque ce dernier ne comptait pas tout à fait sur vous. Dites-nous comment vous avez vécu cette période-là ?
C’est vrai que je suis quelqu’un de très compétiteur et je veux jouer un maximum de temps possible. Mais je respectais les choix du coach. C’est différent qu’en club. Là, tu joues pour ton pays, t’es pas tout le temps là-bas, et parfois il faut accepter certaines décisions, même si ça fait mal. Oui, je le dis, ça fait mal car j’ai eu beaucoup de déceptions, mais voilà, c’est comme ça. À chaque fois que j’ai joué j’ai donné mon maximum et j’ai toujours voulu être le plus performant possible.
Vous lui en voulez un peu ?
Non, je ne lui en veux pas du tout. Il a fait ses choix. On a fait un super parcours, que ce soit pendant les éliminatoires du Mondial ou même lors de la phase finale au Brésil, et ce n’était que du bonheur. Je ne retiens que de la joie. Après, j’estime que coach Halilhodzic a répondu quand même aux attentes du public algérien et on est à présent quelque peu l’équipe à battre.
 Tous les joueurs avec qui on a parlé disent à l’unanimité qu’un gros fossé sépare ces deux coachs, notamment dans la façon de travailler. Le confirmez-vous ?
Oui, bien sûr.
 Décrivez-nous ça…
Déjà, au niveau de la charge de l’entraînement, c’est différent. Je pense qu’aujourd’hui les joueurs se sentent mieux dans le sens où physiquement on arrive plus frais aux matchs, même si comme je l’ai dit, chaque entraîneur a ses propres méthodes de travail.
 Justement, beaucoup ont critiqué cette charge physique qu’imposait souvent Halilhodzic aux joueurs pendant les stages et on voyait après, lors des matchs, que certains éléments accusaient clairement le coup…  
Tout dépend des joueurs. Par exemple, moi personnellement, je trouvais que la charge des entraînements était très soutenue. Aujourd’hui, je me sens mieux quand j’arrive en sélection parce que je sais que la charge des entraînements ne sera pas très élevée. Actuellement, je joue pratiquement tous les trois jours et j’ai donc besoin d’un, voire deux jours de repos pour récupérer. Des petits détails qui changent et qui font la différence.
 Si vous ne deviez retenir qu’une image ou bien un moment qui vous a marqué lors du dernier Mondial au Brésil, ce serait quoi ?
Tout de suite après le coup de sifflet final du match face à la Russie. La qualification qu’il y avait au bout. C’était exceptionnel, c’était tout simplement un moment historique.
 On sait que certains joueurs se sont rués sur Internet pour justement voir l’ambiance qui régnait en Algérie. Est-ce que vous avez fait pareil ?
Bien sûr que oui ! Surtout que moi, je suis issu de la région parisienne, et à Paris j’ai vu que c’était la fête… C’était vraiment exceptionnel !
 L’Algérie s’est hissée à la 15e place au dernier classement FIFA. Une fierté de plus ?
Bien sûr ! C’est une immense fierté, mais il ne faut pas qu’on s’arrête là. Cet exploit doit nous pousser à travailler chacun dans notre club pour faire grandir davantage notre sélection. L’image qu’on transmet est très importante, que ce soit du pays ou même de toute l’Afrique.
 Les observateurs estiment que l’Algérie sera la grande favorite pour la prochaine CAN. Vous êtes d’accord ?
Évidemment qu’on se présente en tant que favoris, on ne peut pas le renier. On a fait un très bon parcours en Coupe du monde. On fait un sans-faute jusque-là dans les éliminatoires de cette CAN-2015. On joue très bien. Au classement FIFA, on est 15e. C’est normal de viser le sacre final. C’est notre objectif, on ne va pas le cacher. Après, on sait que ça va être très dur, car il y a de bonnes équipes en Afrique. Sans aucune prétention, j’estime qu’il faut qu’on assume notre statut de favoris, être confiants et aller de l’avant sans crainte.
 Les Algériens ont besoin de voir l’Algérie soulever enfin un trophée. Comprenez-vous leur frustration, sachant que depuis 1990 on n’a rien gagné ?
Oui, je les comprends parce que pour écrire l’histoire d’un pays au niveau footballistique, il faut gagner des titres. Sans les titres, on ne se rappelle pas de toi. On sait que notre peuple est très exigeant, mais qu’il se rassure, nous aussi on l’est sur le terrain. On se doit d’honorer notre pays et donner le maximum pour remporter le plus de victoires possible.
 Le déroulement de la CAN-2015 dans les délais prévus n’est pas encore certain, après le vœu du Maroc de ne pas abriter cette édition en janvier prochain. Est-ce que tout ça influe psychologiquement sur les joueurs ?
C’est sûr qu’on regarde ça et qu’on y pense un peu. La CAN, c’est quand même une compétition importante. On va attendre la décision finale et on fera avec.
Récemment dans une interview que vous avez accordée au journal italien La Gazzetta Dello Sport, vous avez réaffirmé votre fierté d’avoir choisi la sélection algérienne. On sait qu’en 2010, Rabah Saâdane avait pris attache avec vous, mais vous aviez demandé un temps de réflexion. Avec du recul, ne regrettez-vous pas de ne pas avoir intégré la sélection plus tôt ?
Non, pas du tout. Tout simplement parce que je n’étais pas prêt. Je n’étais pas encore un joueur confirmé. J’étais dans une période assez compliquée de ma carrière. Je revenais d’un prêt à Rennes et puis après, j’ai enchaîné avec pas mal de blessures qui m’ont freiné. Après cela, quand j’ai commencé à jouer, à être stable, à être bien, j’ai décidé de rejoindre la sélection nationale, sans le moindre souci.
 Certains médias français vous regrettent et disent que vous auriez sans doute été d’un grand apport à l’Equipe de France sous la coupe de Didier Deschamps. Ça vous fait quoi d’entendre ce genre de commentaire ?
C’est flatteur et ça fait plaisir, mais aujourd’hui, pour rien au monde je ne reviendrai sur ma décision. Je suis fier et très heureux de jouer pour l’Algérie. Ce que je vis aujourd’hui, ce n’est que du bonheur.
Dans la même interview, vous avez dit aussi que vous vouliez suivre les pas de Madjer à Porto…
Je n’ai pas dit ça exactement. Je pense que chaque joueur a sa carrière. Rabah Madjer était un très grand joueur, sans doute le meilleur joueur algérien, mais je pense que ce n’est pas la même génération. On ne peut pas vraiment nous comparer tous les deux. Bien sûr que je suis fier de ce qu’il a fait ici, mais après, j’ai ma carrière et j’essaye de la faire en toute simplicité.
 Est-ce qu’on a tendance à vous comparer ici ?
Dans la manière de jouer, on ne m’a jamais dit que je ressemblais à Madjer. Après, c’est sûr que le fait d’être algérien, de porter le numéro 8, on a tendance à faire le rapprochement.
 On dit qu’à Porto, Madjer a marqué et marque toujours les esprits. Est-ce que vous sentez réellement la légende ?
Oui, bien sûr. Si vous visitez le musée, vous allez tout de suite comprendre que Rabah Madjer c’était quelqu’un de très important ici.
 Dans quelques jours, il y aura la remise du trophée du Ballon d’Or algérien, Le Buteur-El Heddaf. Cette année, vous partez archi-favori pour le remporter. Est-ce que c’est une ambition pour vous de le gagner ?
C’est clair que c’est flatteur. Tout joueur pense au collectif, mais aussi aux titres individuels, car ça fait plaisir. Ce n’est pas mon objectif principal, mais c’est sûr que ça me fera énormément plaisir de recevoir ce trophée si jamais je le remportais. Ce sera un honneur de plus pour moi et ma famille.
 Vous vous êtes fixé un objectif, du genre atteindre un nombre précis de buts ou de passes décisives d’ici la fin de la saison ?
Non, pas du tout. J’essaye toujours de donner le maximum et de m’améliorer au quotidien. Je n’aime pas me fixer des objectifs de ce genre. On fera les comptes à la fin de la saison.
 Les blessures, ça vous fait peur, sachant qu’à une période de votre carrière, vous avez été longtemps handicapé par des blessures justement ?
Non. Ce qui m’est arrivé et m’arrivera fait partie du destin. J’ai confiance en Dieu et rien ne me fait peur.
 Votre complice en sélection, c’est qui ?
Riyad Mahrez, mais aussi Sofiane Feghouli.
 Vous pensez quoi justement de Mahrez ? Techniquement, lui aussi est très fort…
Je pense que c’est quelqu’un qui a surpris tout son monde. Personne ne s’attendait à voir un joueur aussi talentueux. Ce qu’il est en train de faire actuellement, que ce soit en sélection ou bien à Leicester, je pense que ce n’est que le début car il a les qualités pour aller au très haut niveau.
 Est-ce que vous lui conseilleriez d’aller jouer en Espagne, là où le football est très technique ?
Je pense qu’actuellement, en Angleterre, il est bien et c’est sûr que s’il continue comme ça, il va pouvoir rejoindre un grand club anglais.
 Vous êtes devenu le chouchou  des supporters algériens. Ces derniers n’ont d’yeux que pour vous depuis quelques semaines et ne cessent de partager les vidéos de vos performances sur les réseaux sociaux. On imagine que cela vous fait plaisir, non ?
Oui, c’est clair que ça me fait plaisir et, croyez-moi, tout ça me donne de la force et de la détermination. C’est pour cela que je tiens à remercier tous les Algériens, mais aussi tous les Africains et toutes les personnes qui me soutiennent.
Le public algérien est connu pour être très fervent et proche de sa sélection. On sait qu’il y a certains joueurs qui n’aiment pas trop ça, qu’en est-il de vous ?
Franchement, pour moi, cette proximité du public me fait plaisir et me donne beaucoup de force, comme je vous l’ai dit. Quand je vois notre peuple, le soutien qu’il nous apporte au quotidien, c’est vraiment exceptionnel. Pour moi, c’est ça le football, c’est ça la joie de ce métier qu’on fait.
 Merci à vous Yacine encore une fois pour cette interview exclusive que vous nous avez accordée…
Il n’y a pas de quoi. Merci aussi à vous d’être venu jusqu’ici.
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L’interview décalée…
«C’était important pour moi de me marier très jeune»

Votre plat préféré ?
Pâtes bolognaises. Mais attention, celles de ma femme ou de ma mère, sinon rien.
 Voiture de rêve ?
La Ferrari.
 A 24 ans, vous êtes déjà marié et papa d’une petite fille. C’était important pour vous de vous marier jeune ?
Oui, c’était très important pour moi. Ça me permet déjà d’être plus heureux et aussi d’avoir un bon équilibre de vie. Je suis quelqu’un de très famille et c’est l’une des choses les plus importantes de ma vie.
 Une idole au niveau international ?
Je n’ai pas d’idole.
 Les joueurs qui vous ont inspiré ?
Je dirais Zinedine Zidane et Ronaldinho.
 Il parait que vous avez fait de la boxe et du tennis lorsque vous étiez un peu plus jeune…
La boxe est un sport que j’aime énormément et je vous fais une petite confidence, j’en faisais jusqu’à l’année dernière à Grenade. C’est un sport que je regarde aussi beaucoup à la télévision. Le tennis aussi, j’aime bien.
 Vous auriez pu faire carrière dans l’une de ces disciplines ?
Non, pas à ce point. Ce sont des sports que j’aime beaucoup et qui m’aident à sortir un peu du foot.
 La ville de Porto vous plait-elle ?
Oui. C’est une très belle ville.
Avez-vous appris le portugais ou pas encore ?
J’apprends au quotidien. Ici, ça parle beaucoup espagnol aussi, mais parler portugais, c’est clair que c’est important pour moi.
 Quels sont les joueurs avec qui vous êtes assez proche au FC Porto ?
Aboubakar, Martins Indi et Jackson Martinez surtout. Ce sont des joueurs avec qui je m’entends bien.
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Yacine éteint la polémique avec Feghouli et répond au président de Valence
«Sofiane est plus qu’un coéquipier, c’est un ami et je lui souhaite toujours le meilleur»

Récemment, une polémique a éclaté en Espagne au sujet des récompenses qu’a décernées dernièrement la Ligue de football espagnole. Beaucoup ont accusé la Ligue de faire du favoritisme en privilégiant surtout des clubs comme le Real Madrid et le FC Barcelone au détriment des autres, comme l’Atlético Madrid ou bien le FC Valence. Justement, du côté du club valencien, on n’a pas vraiment digéré le fait qu’on décerne le trophée de meilleur joueur africain de la Liga de la saison passée à Yacine Brahimi et non pas à Sofiane Feghouli, qui l’aurait, selon son président, Amadeo Salvo, mérité le plus au vu de ses statistiques lors de cette saison 2013-2014. Voulant avoir l’avis d’un des concernés, en l’occurrence Yacine Brahimi sur cette polémique, on lui a posé la question et sa réponse a été : «Ecoutez, je ne voudrais pas entrer dans ce genre de polémiques. Feghouli, au-delà d’être un coéquipier, c’est vraiment un ami. C’est un très bon joueur et évidemment, je lui souhaite que de bonnes choses, car il le mérite. Voilà tout». Voilà donc l’ancien pensionnaire de Granada qui remet les choses dans l’ordre et éteint l’étincelle de cette polémique.
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Issu de la région, il appelle les gens de Ghardaïa au calme : «La violence ne sert à rien, préservez notre beau patrimoine»
Comme tout le monde le sait, Yacine Brahimi est né et a grandi dans la région parisienne. Cependant, il demeure originaire plus exactement d’El Ménéa, commune de la wilaya de Ghardaïa. Justement, cette ville, située aux portes du grand Sahara algérien est en proie à des violences perpétuelles depuis près de deux ans maintenant entre Arabes et Mozabites, résidant dans la même ville. Qui de mieux indiqué que le sociétaire de Porto pour lancer un message d’apaisement à tous les habitants de cette merveilleuse ville touristique, qui au fil des semaines et des mois, commencent sérieusement à perdre tout son charme et son hospitalité en raison de cette violence.  «Evidemment, je suis peiné par ce qui se passe là-bas. Je profite de l’occasion pour appeler les gens de cette ville à revenir au calme, car la violence n’amène et ne mène à rien. Il faut que Ghardaïa retrouve son calme et sa paix car c’est une région magnifique. Ils n’ont pas besoin de toute cette violence. Il faut trouver une issue à tout ça.»

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«Bravo à Sétif»
A la fin de notre interview, Yacine Brahimi a tenu à adresser ses félicitations à la direction et aux supporters de l’Entente de Sétif, après la victoire en finale de la Ligue des champions. «Sincèrement, je suis très heureux de l’exploit qu’a réalisé Sétif. Je les félicite et je leur souhaite plein de succès à l’avenir.»
بواسطة : Unknown بتاريخ : 08:49

Halilhodzic viré de Trabzonspor !

 

Le technicien bosnien a été démis de ses fonctions ce samedi. Il touchera une indemnisation de 1,6 million d’euros
Auteur : samedi 08 novembre 2014 22:45
Vahid Halilhodzic  n’aura finalement pas duré longtemps avec le Trabzonspor. En dépit d’une qualification presque acquise en Europa League,  l’ancien sélectionneur des Verts a été démis de ses fonctions pour absence de résultats en championnat où le Trabzon est classé 12e, malgré une grosse manne financière mise à la disposition du Bosniaque, en période de recrutement. Par ailleurs, ayant signé un contrat en béton, Halilhodzic sera indemnisé. La presse turque évoque un montant de 1,6  million d’euros.
بواسطة : Unknown بتاريخ : 08:36
le monde du football 

le maroc veut regler ça par le dialogue



Le Maroc avait hier insisté sur la nécessité de reporter la CAN en 2016. Reste à savoir ce que la CAF va répondre à cette demande
Auteur : dimanche 09 novembre 2014 13:01
Si la CAF avait déjà formulé un avis négatif sur la question le 3 novembre dernier, le Maroc a réitéré samedi sa demande de report de l'édition 2015 de la CAN jusqu'au mois de janvier 2016 comme le rapporte L'Equipe. "Aujourd'hui encore, on croit en la possibilité d'un dialogue, en la nécessité d'un dialogue (...). Les solutions ne sont jamais unilatérales", a expliqué dimanche un conseiller du ministre marocain des Sports, Hamid Faridi. La CAF doit à présent se réunir à son siège du Caire, mardi, avec deux scénarios, si elle écarte à nouveau tout report : la tenue de la CAN 2015 dans un autre pays ou son annulation pure et simple, ce qui serait une première.

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